L’insoleuse ÉCO peut-elle être utilisée pour l’impression photographique, c’est-à-dire pour l'impression de gélatines bichromatées sur des supports en papier ou en toile ? La réponse m’intéresse car je suis un passionné des anciens processus d’impression. Merci.
Réponse à la question de Mathieu

L’insoleuse Éco, dans sa version standard, émet de la lumière blanche, à laquelle le papier photographique au bromure d’argent est sensible.
En outre, un système de presseurs en caoutchouc mousse garantit un contact parfait entre le film négatif et le papier photosensible.
Par conséquent, de ce point de vue, toutes les conditions sont remplies pour l’impression au contact de matériel photographique.
Un doute subsiste quant aux temps d’insolation : les quatre néons ne s’allument pas instantanément, comme les ampoules, mais il leur faut 1 à 2 secondes pour qu’ils éclairent tous les quatre à pleine capacité.
Si le temps d’insolation requis est bref, c’est-à-dire de l’ordre de 10 secondes, cela signifie une erreur systématique de 10 % qui, sur le papier photographique, pourrait être excessive.
Par conséquent et pour résumer, l’insoleuse peut convenir à votre application, à condition que la sensibilité de votre papier soit suffisamment basse et nécessite des temps d’insolation suffisamment longs.

Franco Ratto,
Responsable technique et commercial

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